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RA�GION DE WATERLOO La technologie a retirA� le commerce du sexe de la rue et l’a dA�placA� vers le monde en ligne. Pour deux agents de la police rA�gionale de Waterloo qui travaillent avec coque galaxy a 3 les victimes de la traite des personnes, le monde du sexe en ligne victimise et exploite souvent les femmes A� des fins lucratives. Const. Matt Demarte, qui travaille dans la branche des victimes spA�ciales, a dA�clarA� que la technologie permet A� ceux qui supervisent les opA�rations, tels que les proxA�nA?tes, d’exploiter les femmes, et A� certaines filles dA?s l’A?ge de 14 ans. ‘La plupart des dates sont faites par textos, pas des appels tA�lA�phoniques’, a dA�clarA� Demarte. Une application sur votre tA�lA�phone permet A� la transaction de se produire sans effort, selon la police. En 2015, les statistiques policiA?res locales ont fait A�tat de 27 cas de traite d’A?tres humains dans la rA�gion, dont 26 A�taient des cas de traite sexuelle. Cette annA�e, il y a neuf enquA?tes actives dans lesquelles quatre personnes ont A�tA� inculpA�es. Deux des victimes ont moins de 18 ans. Cette annA�e, la police a ajoutA� un autre officier pour enquA?ter sur la traite des A?tres humains, qui comprend A�galement des cas de travail forcA�. La traite des A?tres humains implique des filles, parfois A?gA�es de 16 ans ou moins, qui sont contraintes A� avoir des rapports sexuels avec des hommes dans les hA?tels par leurs proxA�nA?tes. Ils sont contraints A� samsung grand prime photo la prostitution et A� la traite A� travers la province. Demarte a dA�clarA� que certaines victimes venaient de la rA�gion de Waterloo et d’autres communautA�s, allant des adolescents aux femmes dans la quarantaine. En plus d’arrA?ter les proxA�nA?tes, la police passe d’innombrables heures avec des victimes qui ont A�tA� contrA?lA�es par leurs proxA�nA?tes. Construire des rapports et de la confiance avec les jeunes femmes prend du temps, a dA�clarA� la police. ‘Certaines filles ont subi un lavage de cerveau pour penser que ce qu’elles font est illA�gal’, a dA�clarA� Demarte. Il dit qu’ils sont les victimes du crime. Demarte a indiquA� que la police travaille en A�troite collaboration avec le Centre de traitement des agressions sexuelles et de la violence familiale de la rA�gion de Waterloo, un programme de l’hA?pital gA�nA�ral St. Mary’s qui a formA� des infirmiA?res et des travailleurs sociaux pour rA�pondre aux besoins des victimes. L’annA�e derniA?re, le centre s’est associA� A� la police pour lancer une rA�ponse multidisciplinaire A� la lutte contre la traite des A?tres humains, en tant que premier contact pour les victimes. DA�jA� 15 victimes ont bA�nA�ficiA� de soins mA�dicaux d’urgence, de soutien et d’orientation vers d’autres services communautaires. Plus tA?t samsung galaxy cover ce mois-ci, le gouvernement provincial a annoncA� qu’il donnait de l’argent aux organismes pour soutenir les survivants de la traite des personnes. Le Centre de soutien aux victimes d’agression sexuelle de la rA�gion de Waterloo reA�oit plus de 540 000 $ dans le cadre d’une initiative provinciale. Le centre prA�voit embaucher un trafiquant A� temps plein..